Fédération du Val d'Oise

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Pierre Laurent : "La dynamique du Front de gauche est en train d'imposer le retour d'une gauche de combat"

le 10 avril 2012

Pierre Laurent :

Interviewé en marge du meeting du Front de gauche place du Capitole à Toulouse, Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français, a réaffirmé l'importance de « la mobilisation sur des valeurs de gauche, de l'électorat populaire, des salariés et des jeunes de ce pays » dans la dynamique du Front de gauche.

Cette mobilisation est la condition de la victoire de la gauche, et le président du Conseil national de campagne, de rappeler que la recherche d'une alliance au centre a déjà fait perdre deux présidentielles à la gauche. Le Front de gauche signe « le retour d'une gauche de combat » et revoie « la chimère de l'alliance avec le Modem derrière nous ».

Source : l'Humanité.fr

 

Discours de Nicole Borvo à Toulouse

le 07 avril 2012

Discours de Nicole Borvo à Toulouse

Discours de Nicole Borvo, sénatrice, présidente du groupe communiste, républicain et citoyen à la chambre haute. Place du Capitole à Toulouse le 5 avril 2012.

CGT/PCF : « Nicolas Sarkozy perd les pédales »

Par Pierre Laurent, le 06 avril 2012

CGT/PCF : « Nicolas Sarkozy perd les pédales »

Rejeté par le pays, Nicolas Sarkozy ne sait plus comment réagir. Il vient de perdre les pédales en déclarant que Bernard Thibault était membre du bureau politique du PCF. Faut-il rappeler au Président qui déshonore sa fonction en proférant de tels mensonges que cette instance du PCF n'existe plus depuis plus de quinze ans, que Bernard Thibault n'en a jamais été membre, que le respect de l'indépendance syndicale est depuis de longues années, un principe intangible du PCF ? Nicolas Sarkozy ferait mieux de balayer devant sa porte lui qui a abaissé son rôle depuis cinq ans à celui de commis zélé du MEDEF et des grands privilégiés.  C'est là et pas ailleurs qu'il faut chercher les raisons de la mobilisation électorale qui s'annonce pour le chasser du pouvoir dans le monde du travail.

Discours de Jean-Luc Mélenchon à Toulouse

le 06 avril 2012

Discours de Jean-Luc Mélenchon à Toulouse

Réplique de magnitude élévée hier à Toulouse. Près de 70 000 personnes ont bravé la pluie pour assister au meeting du Front de gauche à Toulouse.

La rivière est sortie de son lit !

Discours de Jean-Luc Mélenchon, place du Capitole à Toulouse le 5 avril 2012.

 

Discours de Jean-Luc Mélenchon au meeting de Limoges

le 05 avril 2012

Discours de Jean-Luc Mélenchon au meeting de Limoges

Discours de Jean-Luc Mélenchon candidat du Front de gauche à l’élection présidentielle devant plus de 8000 personnes réunies au Zénith de Limoges (Haute-Vienne) Mercredi 4 avril 2012.

Face à la montée du Front de gauche, la droite sonne le Tocsin

Par Olivier Dartigolles, le 05 avril 2012

Face à la montée du Front de gauche, la droite sonne le Tocsin

Oubliés les calculs politiciens pariant sur une hypothétique division de la gauche qui favoriserait le candidat Nicolas Sarkozy ! Face à la montée du Front de gauche, la droite sonne le Tocsin. C'est Le Figaro qui fait chiffrer par un institut-au-doigt-mouillé le programme du Front de gauche en y trouvant plus de 100 milliards de dépenses nouvelles. C'est le très réactionnaire hebdomadaire Valeurs actuelles qui fait sa une avec une photo de Jean-Luc Mélenchon en titrant « L'enragé » et sur le retour de la « gauche communiste ». Il ne manque plus que la menace des chars russes déboulant sur les Champs Élysée pour que le tableau soit complet.

Madame Parisot a lancé le mot d'ordre contre nous en convoquant « la terreur » de la révolution française. C'est désormais toute la droite qui s'y rallie. Ils ont raison car ils sont l'ennemi principal d'une bataille que le Front de gauche va emporter pacifiquement le 22 avril prochain avec pour seule arme, un simple bulletin de vote.

Discours de Marie-George Buffet à Vierzon

le 05 avril 2012

Discours de Marie-George Buffet à Vierzon

Discours de Marie-George Buffet au meeting du Front de gauche à Vierzon, le 3 avril 2012.

Discours de Jean-Luc Mélenchon à Vierzon

le 05 avril 2012

Discours de Jean-Luc Mélenchon à Vierzon

Discours de Jean-Luc Mélenchon au meeting du Front de gauche à Vierzon le 3 avril 2012.

Le retour de la gauche de combat

le 03 avril 2012

Le retour de la gauche de combat

« Nous avons allumé la lumière. » Prise isolément, cette phrase que Jean-Luc Mélenchon distille çà et là pour expliquer la démarche fonda­mentale et presque fondatrice du Front de gauche peut paraître présomptueuse. Elle ne l’est pas. Héritiers que nous sommes d’une illustre tradition politique qui 
a toujours marié la justice à l’égalité et fiers – oui fiers ! – de notre axiome marxien adossé aux piliers des concepts républicains, nous entendons cette phrase du candidat à la présidentielle comme l’un des plus beaux symboles du renouveau « de la » politique. Celui du retour à « quelque chose » d’assez sacré : l’Idée. Mais aussi celui du début « d’autre chose » : une gauche à la main ferme.

Le peuple a de la mémoire. Alors que nous vivons le temps des remuements essentiels (la crise, le capitalisme, le développement, etc.), nous connaissons l’histoire contemporaine, qui, trop souvent, a vu la gauche s’accommoder du « principe de réalité », provoquant ce que certains pouvaient considérer comme un éternel recommencement : une espérance suivie d’une déception… À moins de cinq semaines du premier tour de l’élection présidentielle, cette hypothèque sur l’espoir semble levée par la dynamique et la crédibilité du Front de gauche. Si nous n’aimons guère accorder trop de place aux logiques 
des sondages, néanmoins, les dernières enquêtes d’opinion réchauffent le cœur et l’esprit et témoignent que le Front de gauche vient de gravir une marche importante, comme nous le pressentions. Qu’on se le dise, la gauche de combat, soutenue par un corps électoral solide, est de retour ! Il était temps. Non ?

Ne le cachons pas. La verve et l’intelligence oratoire de Jean-Luc Mélen­chon ne sont pas pour rien dans l’accélération de ce processus populaire, dont nous ne mesurons pas encore toutes les possibilités. Lui-même le répète à souhait : « Nous défendons des idées, pas un guide suprême ou un leader. » Tous les artisans de la campagne du Front de gauche présents sur le terrain peuvent en témoigner. Grâce à la diffusion dans le corps social d’un discours de très haute ampleur programmati­que, associé à l’élaboration d’arguments offensifs qui ne cèdent plus un mètre de terrain à qui que ce soit, tout devient possible, y compris l’appropriation et la diffusion des idées. On ne s’indigne plus seulement, on propose, on politise. L’ambition est si énorme 
que nous en tremblons de désir. Pour la première fois depuis des lustres, une grande partie du peuple de gauche, jadis déçu, parfois désespéré parce que trahi par la mise en œuvre systématique d’une véritable pédagogie du renoncement, se sent de nouveau concernée. Ce n’était pas « la » politique qui les avait quittés, mais la confiance dans sa capacité à changer leurs vies. Ils savent désormais qu’ils ont un rôle à jouer…
Il y a du bonheur à réinventer l’à-venir.


Le Front de gauche, qui voit plus loin que l’horizon et affranchit ceux qui ont souffert d’années d'humiliations, a pour objectif de réveiller et/ou d’éveiller les consciences. En y parvenant, il redonne aussi de la dignité à tous les citoyens, il les aide à devenir eux-mêmes des acteurs d’idées et des propagateurs du bien commun. « Le Front de gauche, c’est quelque chose de plus grand que nous », clame le candidat.
 
Ce quelque chose porte un nom : la révolution citoyenne. Et une méthode : l’insurrection civique !

Avec la poussée du Front de gauche, c’est toute la gauche qui progresse

Par Olivier Dartigolles, le 01 avril 2012

Avec la poussée du Front de gauche, c’est toute la gauche qui progresse

La progression de Jean-Luc Mélenchon n'est pas une surprise. La dynamique électorale du Front de gauche s'est transformée en un mouvement populaire et citoyen d'une telle ampleur, avec une énergie et une force si remarquables, que les indicateurs traditionnels du suivi des campagnes électorales semblent dépassés.

Comment fait-on pour mesurer un espoir en marche, un basculement vers quelque chose de totalement neuf pour la politique et pour la gauche ? Avec la poussée du Front de gauche c’est toute la gauche qui progresse et l'argument du vote utile est lui aussi à ranger dans l'armoire des souvenirs.

Dès demain matin, la direction de campagne va fixer le cap et la feuille de route des prochains jours : poursuivre le travail de fond et le travail de rassemblement. Cette semaine à Vierzon, Limoges puis Jeudi 5 sur la place du Capitole à Toulouse,  c’est un nouveau coup de tonnerre auquel nous allons assister, car désormais, quand le Front de gauche donne à voir sa force, la présidentielle 2012 devient celle du peuple. Un peuple qui entend dégager Sarkozy en assurant les conditions de la réussite d'une politique de changement à gauche.